A la une

423- Drogue : la moitié du problème est oubliée

   ... Les psychologues connaissent bien les raisons pour lesquelles des gens se mettent à la drogue. Le fait qu'elle soit facile à trouver compte, mais n'explique pas tout. On trouve plus de drogués chez les jeunes qui sont dans une famille où il y a de la violence, où le jeune ne se sent pas estimé, pas soutenu, pas aimé. Dans celles aussi où il y a déjà de la drogue.  Des adolescents peuvent en prendre pour vouloir s'affirmer, pour se sentir plus indépendant. La drogue revient moins cher qu'une place de concert… 

   ... Mais toute cette face de la drogue, qui en parle ? qui s'en soucie ? qui cherche à comprendre pour changer les choses ? Qui réfléchit aux vraies responsabilités ?

422- Bolloré : des milliards pour rentrer dans nos têtes

… depuis une dizaine d'années, Bolloré veut aller plus loin que les autres. Il veut nous gagner, en plus, à ses croyances personnelles. Il veut utiliser ses radios, ses télés, ses bouquins et ses journaux pour que nous soyons des millions à croire comme lui. Et ses croyances, ce sont celles des catholiques intégristes. Il le dit : "Si je ne crois pas en quelque chose, je ne le mets pas sur mes antennes". Pour un de ses présentateurs, "la religion chrétienne est chez elle en France !" Sa chaîne CNews explique, du matin au soir et du soir au matin, que la France est un pays qui va mal, très mal ; et si cela va mal, c'est parce que l'on manque d'ordre et de croyance en Dieu. Et la seule religion qui vaille, c'est la catholique…

421- Jeunes : face à une société de plus en plus dure

            ... Mais chez les jeunes, existe aussi un dégoût de l'injustice, qui apparaît depuis l'enfance. Sur la base de ce sentiment, peuvent mûrir des jeunes adultes capables de soulever les choses. Les jeunes ont toujours été les premiers à se révolter. Déjà, un certain nombre tente de faire réagir, en ce qui concerne le climat, l'écologie, les rapports entre hommes et femmes... 

Nous écrivons pour les prolétaires, les opprimés, les pauvres, et ceux qui sans l’être se sentent de leur côté.

Nous écrivons de manière à être lus aussi par ceux à qui la société n’a pas donné les facilités de lire.

Et nous écrivons de manière que nos textes puissent être ré utilisés, par qui le souhaite, longtemps après leur parution.

 

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