Nous écrivons pour les prolétaires, les opprimés, les pauvres, et ceux qui sans l’être se sentent de leur côté.
Nous écrivons de manière à être lus aussi par ceux à qui la société n’a pas donné les facilités de lire.
Et nous écrivons de manière que nos textes puissent être ré utilisés, par qui le souhaite, longtemps après leur parution.