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Une plongée vivante dans la révolution tunisienne, des premiers remous jusqu’à l’éviction de Ben Ali du pouvoir. Une analyse aussi des couches sociales qui mènent le mouvement, de celles qui le soutiennent, et de celles qui, finalement, réussissent à le stopper et s’emparent du nouveau pouvoir politique.

Si l’on regarde le poids de l’ensemble des industries et des milieux d’affaires liés à la production des automobiles (secteur pétrolier, pneumatiques, construction de routes, autoroutes, assurances), on peut considérer que nous avons affaire là à quelque chose comme 30% de l’économie, que ce soit au niveau national d’un pays comme la France ou à l’échelle du monde. Pas étonnant alors, si l’on analyse de près les impacts, de découvrir les gigantesques gâchis ou drames humains que génère cette industrie, dans sa gestion capitaliste.

L’Afghanistan est un pays particulièrement arriéré où, plutôt que de peuple, il faudrait parler de clans, dirigés par des chefs de guerre, propriétaires terriens, où la religion est omniprésente, la famille un carcan. Des hiérarchies quasi médiévales que ni l’occupation soviétique en 1979, ni leur éviction en 1989 par Ben Laden et Washington alors alliés, et pas non plus l’occupation militaire américaine de 2001 (pour renverser le pouvoir des Talibans, protecteurs de Ben Laden) ne vont jamais inquiéter.

© L'Ouvrier 2024
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