Autres textes
Une plongée dans les origines de la grande séparation du monde musulman entre sunnites et chiites. Le jeu actuel des puissances régionales et occidentales qui utilisent cette opposition dans les conflits de la région. Un éclairage sur les conflits encore brûlants ou même en cours, de Syrie en Irak, en Palestine ou au Liban, à Bahrein ou au Yémen.
Pourquoi, malgré des efforts parfois sincères, ce sont toujours les mêmes catégories sociales qui ont accès et profitent de la culture et des manifestations culturelles. Et comment une autre idée de la culture la rendrait accessible aux populations qui en sont aujourd’hui, de fait, exclues.
Un retour en arrière nous montre à quel point le regard que nous avons sur notre propre corps n’a cessé de changer, tout au long de l’histoire. Où l’on découvre que ce regard est profondément marqué selon la classe sociale. Une réflexion aussi sur notre rapport au corps dans le monde actuel, qui ne cesse de le proclamer libre. Et qui nous mène, pour finir, à envisager notre rapport aux robots.
La société actuelle ne veut pas voir en face ni la mort, ni la fin de vie qui la précède. La majorité de la population serait pour que chacun puisse avoir un droit sur le moment de sa mort, de manière à pouvoir mourir dignement et sans souffrance inutile. Mais la loi française a bien du mal à progresser, car elle se heurte à une discrète mais puissante opposition, dont le centre de gravité est la hiérarchie du monde catholique.
En France, on découvre l’Etat islamique en 2014 au moment où une coalition occidentale décide de lui faire la guerre, la 3ème guerre menée au nom de la lutte contre l’islamisme, après l’Afghanistan et l’Irak. Il est maintenant reconnu que cette force est apparue dans le cadre de ces guerres. Mais peu d’études ont tenté de comprendre pourquoi et comment elle a réussi à gagner des parties entières de populations de la région, humiliées depuis trop longtemps par les comportements de l’Occident.