
Derrière des courants à l’aspect assez sympathique (le bio, les végétariens, etc.), se profile une idéologie extrémiste, l’animalisme, qui revient à vouloir une société où les humains n’ont plus rien à faire avec les animaux, qu’ils soient domestiques ou d’élevage. Débat donc sur ce qui prétend fonder leurs idées : les animaux seraient des personnes comme les autres. L'occasion, aussi, de réfléchir plus profondément à la place de l'homme dans l'évolution par rapport aux autres animaux.